Affiche de Bienvenue à l’hôtel de ville de Montréal: des plaintes déposées à la Commission des droits de la personne par le Mlq
Le Mouvement laïque québécois dépose des plaintes à la Commission des droits de la personne. Malgré la déclaration de la mairesse de Montréal Valérie Plante à l’émission Tout le monde en parle à l’effet que l’affiche de Bienvenue à la ville de Montréal allait être remplacée, le Mouvement laïque québécois (MLQ) a déposé cette semaine une série de plaintes à la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) concernant cette affiche. Les plaignantes, à la fois d’origines québécoise, arabo-musulmane et catholique, réclament des dommages punitifs et moraux (extraits des plaintes en Annexe 2). Pour lire le communiqué du Mlq (30 octobre 2024)
En soulignant ce qui fait l’originalité de la laïcité républicaine par rapport à la pseudolaïcité lockéenne, c’est-à dire la séparation des religions et de l’État, David Rand met le doigt sur ce qui vide le « secularism » de l’égalité entre les sexes et de la neutralité réelle de l’État. En même temps, il inscrit le combat pour cette laïcité républicaine dans la continuité du progrès social né avec les Lumières, avec l’idéal d’émancipation dont se sont toujours réclamés ceux qui se reconnaissent comme de gauche. Il met aussi de l’avant le combat plus que centenaire pour la liberté de conscience qui est la marque insigne de la laïcité.
Le mérite de ce livre est qu’il ne s’adresse pas seulement au monde anglophone, mais aussi aux francophones qui ont oublié ce que l’universalisme veut dire ou l’ont trahi en cédant aux sirènes de la défense des droits individuels. En soulignant le rôle du communautarisme et des replis tribaux, et ce qui divise les citoyens entre eux plutôt que ce qui leur est commun, David Rand pointe l’obstacle actuel à la compréhension du rôle de la laïcité dans l’équilibre de notre société.
Enfin le lexique donne des définitions claires des termes utilisés dans le livre, fournissant une fondation solide pour développer les discussions entre militants de bonne foi.
Deuxième avant-propos, Joseph Aussedat
Le volume peut être commandé directement aux Éditions de l’Harmattan (23 septembre 2024)
Lancement à Montréal le mercredi 6 novembre à 18h, à la librairie Le Port de Tête,
262 avenue du Mt-Royal est (métro Mt-Royal) à Montréal,
Animée par Nadia El-Mabrouk présidente du Rassemblement Pour la Laïcité
Bedford et l’entrisme islamiste
À la suite du rapport d’enquête concernant l’école Bedford, plusieurs tombent des nues et se demandent bien candidement comment cette mainmise de onze enseignants, en majorité musulmans, sur l’école et le syndicat a pu durer pendant sept ans sans qu’aucune plainte officielle n’ait été déposée contre eux? Pour lire tout le texte dans Le blogue de Louise Mailloux (29 octobre 2024)
Signes religieux: «Ce que tu as sur la tête reflète ce que tu as dans la tête!», pense un expert
Le cas de l’école Bedford crée beaucoup de remous et d’incompréhension au sein de la population québécoise. Plus qu’une simple anecdote, cette histoire exemplifie, même si l’on croit chasser la religion de nos écoles, elle revient au galop. Pour écouter tout l’entretien de Daniel Baril, président du Mouvement laïque québécois avec Guy Nantel, sur qub.ca (25 octobre 2024)
Mettons fin au financement public des écoles religieuses
Comment la CAQ peut-elle prétendre être pour la laïcité et continuer de financer des écoles religieuses?
François Legault et Bernard Drainville se retrouvent maintenant sous les deux partis qui ont voté contre la loi 21. Chaque année, le gouvernement québécois subventionne une cinquantaine d’écoles religieuses pour un total de 160 millions de dollars en fonds publics. Cette subvention est un anachronisme qui date de la fin des années 1990, un compromis suite à la déconfessionnalisation du réseau scolaire québécois. Pour signer la pétition du Parti Québécois (25 octobre 2024)
Le cas de l’école Bedford et les limites de la loi 21
Dans le sillage du rapport accablant sur le cas de l’école Bedford, plusieurs commentateurs ont souligné à juste titre que la Loi sur la laïcité de l’État devait être renforcée. Mais malgré les limites de cette loi, plusieurs de ses dispositions ainsi que celles d’autres lois ont manifestement été violées par ce qui est rapporté sur l’enseignement dispensé à cette école. Pour lire tout le texte de Daniel Baril, président du Mlq (24 octobre 2024)
Ne plus tolérer l’intolérance
L’école Bedford n’est pas un cas isolé. Ce qui en fait un cas remarquable, c’est surtout le nombre de personnes impliquées. Mais dans d’autres établissements privés ou publics, écoles, garderies, maisons pour personnes âgées, hôpitaux et autres services aux citoyens, quelques personnes suffisent pour compliquer la vie des autres et faire d’un environnement de travail un milieu toxique. Pour lire tout l’article d’opinion de Fatima Aboubakr, directrice de garderie, paru sur ledevoir.com (22 octobre 2024)
Ignorance, lâcheté, courage, et peur raisonnable
Il y a deux semaines, je disais ici même que nous allions un jour ou l’autre devoir parler d’islam et d’éducation. Je ne pensais pas que ça viendrait si vite et de manière aussi dramatique. Pour lire tout l’article d’opinion de Normand Baillargeon, paru sur journaldemontreal.com (19 octobre 2024)
L’école Bedford illustre que la loi 21 ne va pas assez loin
Si erreur il y eut, c’était dans les têtes de ceux qui s’imaginaient que cette loi minimaliste suffirait.
Le climat «toxique» qui règne à l’école Bedford, c’est celui imposé par des enseignants dont «l’obscurantisme» ne tombe pas de n’importe quel arbre. C’est celui d’enseignants habités par une conception rigoriste et militante de l’islam, dont une mosquée avoisinante semble être l’un des foyers locaux. Pour lire tout l’article d’opinion de Joseph Facal, paru sur journaldemontreal.com (19 octobre 2024)
École Bedford: l’échec de la loi 21? Oh mon Dieu!
L’histoire de l’école Bedford serait, selon certains, le signe d’un échec de la loi 21. Pourquoi? Parce que la laïcité québécoise n’aurait pas réussi à empêcher la prise de contrôle de l’école par un clan de professeurs à l’enseignement rétrograde, sexiste et religieux pendant près d’une décennie. Ceci égalant cela, la loi 21 serait, donc, un échec. Il s’agit précisément du contraire. Le cas Bedford est un puissant rappel de la nécessité de la loi 21, de la laïcité québécoise. Pour lire tout l’article d’opinion de Philippe Léger, paru sur journaldemontreal.com (18 octobre 2024)
Dans son nouveau volume où elle discute de la fragilité de la reconnaissance du droit à l’égalité des femmes, Marie-Claude Girard montre que cette égalité est menacée par la primauté des droits individuels sur les droits collectifs, par la «bienveillance religieuse» des politiques canadiennes et par l’intégrisme religieux. Mais c’est aussi le rétrécissement de l’espace public accessible aux citoyens, la désinformation et la notion de «blasphème» comme limite à la liberté d’expression qui jettent une ombre menaçante sur l’égalité. Afin d’assurer la pérennité et l’extension des droits des femmes, l’auteure propose des pistes de solution québécoises, canadiennes et internationales. Le volume peut être commandé directement aux Éditions du Renouveau québécois en cliquant sur le lien. (19 septembre 2024)
La femme montréalaise et son appropriation citoyenne
L’hôtel de ville de Montréal a rouvert ses portes début juin après cinq ans de rénovations, au coût de 221 millions. On voulait « rafraîchir » un hall d’entrée qui datait de 1878, une époque plutôt patriarcale, principalement catholique et présenter oeuvres d’art et expositions. On nous avait promis, entre autres, un musée sur l’histoire de Montréal. L’administration Plante y présente «sa» mise à jour: un cadre d’« appropriation citoyenne ».
Ainsi, sur le panneau de bienvenue du hall d’entrée, on voit à droite un homme âgé lambda, un jeune homme à casquette anonyme à gauche et une femme au centre, elle, voilée d’un hidjab islamiste. Au nom de la diversité, on se fait accueillir par un symbole d’oppression de la femme. Pour lire tout l’article d’opinion de Jean Gadbois, professeur retraité de philosophie au collégial paru sur ledevoir.com (22 juillet 2024)
La femme voilée, image incomplète de la diversité montréalaise
Nous, l’Association des femmes iraniennes de Montréal, rejoignons les voix du Mouvement laïque québécois et de l’organisme féministe PDF (Pour les droits des femmes) pour exiger le retrait de l’affiche de bienvenue à l’hôtel de ville de Montréal. Pour lire tout l’article d’opinion de Mina Fakhravar, membre du CA de L’Association des femmes iraniennes de Montréal paru sur lapresse.ca (5 août 2024)
Montréal, laïque ou voilée?
Pour écouter l’ entrevue de Daniel Baril par Rémi Villemure sur qub-radio.ca (22 juillet 2024)
Le voile, le symbole de Montréal
La semaine dernière, je vous apprenais que la première chose qu’on voit en entrant dans l’hôtel de ville de Montréal, c’est une affiche de femme voilée. Ça vous a choqués!
Mais vous allez l’être encore plus quand vous allez apprendre ce que le cabinet de Valérie Plante a répondu à ma collègue Anouk Lebel:
«L’image des citoyens, incluant une femme voilée, fait partie de la même exposition muséale que le crucifix et les lunettes du maire Jean Drapeau.»
Pour lire tout l’article de Sophie Durocher sur journaldemontreal.com (21 juillet 2024)
À l’Hôtel de ville de Montréal, le crucifix est remplacé par un hidjab!
Lors du début des travaux de restauration de l’Hôtel de Ville de Montréal amorcé en mars 2019, la mairesse Valérie Plante avait fait savoir que le crucifix placé dans la salle des délibérations publiques du conseil de ville allait être retiré et placé dans un « endroit muséal ».
Dans les entrevues qu’elle accordait aux médias à cette occasion, la mairesse faisait valoir que la Ville de Montréal était « une institution démocratique » et qu’un tel symbole religieux n’avait pas sa place « là où se prennent les décisions ». Des médias rapportaient que ce retrait, décidé avant l’adoption de la Loi sur la laïcité de l’État et donc avant le retrait du crucifix de l’Assemblée nationale, visait à « établir le caractère laïque du conseil de ville ». Pour lire toute la lettre ouverte de Daniel Baril sur le site de tolerance.ca (18 juillet 2024)
Le juge Jamal fait bien de se récuser, mais s’explique mal
À contrecœur, le juge Mahmud Jamal, de la Cour suprême (CsC), a consenti mardi à se désister dans le dossier de la loi 21 sur la laïcité de l’État, contestée devant les tribunaux depuis 2019. Pour lire tout l’article d’Antoine Robitaille sur tvanouvelles.ca (11 juillet 2024)
À l’Hôtel de ville de Montréal, le crucifix remplacé par un hidjab!
Lors du début des travaux de restauration de l’Hôtel de Ville de Montréal amorcé en mars 2019, la mairesse Valérie Plante avait fait savoir que le crucifix placé dans la salle des délibérations publiques du conseil de ville allait être retiré et placé dans un « endroit muséal ». Pour lire la demande du Mlq à la Ville de Montréal (10 juillet 2024)
Victoire: le juge Jamal décide de se récuser
Le juge Jamal maintient sa position à l’effet qu’aucun élément ne le place en conflit d’intérêt et qu’aucun argument juridique ne l’oblige donc à se récuser mais il décide de le faire quand même. Sa deuxième réponse n’a aucune crédibilité. Pour lire le communiqué de la Registraire (9 juillet 2024)
Le juge Jamal de la Cour suprême se retire du dossier sur la loi 21
Le juge Jamal maintient sa position à l’effet qu’aucun élément ne le place en conflit d’intérêt et qu’aucun argument juridique ne l’oblige donc à se récuser mais il décide de le faire quand même. Sa deuxième réponse n’a aucune crédibilité. Pour lire tout l’ article de François Carabin sur ledevoir.com (9 juillet 2024)
Le juge Jamal devrait se récuser
La loi 21 sur la laïcité de l’État, par exemple. La Cour suprême du Canada (CSC) se penchera bientôt sur sa constitutionnalité, contestée depuis son adoption en juin 2019. Jusqu’à maintenant, il y eut un jugement en Cour supérieure (plutôt défavorable), puis plus récemment en Cour d’appel (plutôt favorable). Or, le Mouvement laïque québécois (MLQ), qui participera à la défense de la loi 21 devant la CSC, a exigé la récusation, la semaine dernière, d’un de ses juges, Mahmud Jamal. Pour lire tout l’article d’Antoine Robitaille sur journaldemontreal.com (6 juillet 2024)
Les vidéos des conférences tenues lors du premier Forum sur l’universalisme de l’AQUR
(Association des Québécois unis contre le racialisme). Pour visionner les vidéos du Forum (27 juin 2024)
Les parcs ne sont pas des lieux de culte
Le conseil d’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville a donné l’autorisation à un groupe religieux d’organiser une prière collective musulmane au parc des Hirondelles à l’occasion de la fête de l’Aïd. C’est ainsi qu’en toute légalité, le parc s’est transformé dimanche 16 juin en mosquée à ciel ouvert pour des centaines de musulmans. Pour lire tout l’article de Nadia El-Mabrouk, cosignataire avec François Dugré, Marie-Claude Girard, Etienne-Alexis Boucher, Lucie Jobin, Raphaël Guérard et Lyne Jubinville qui sont tous membres du conseil d’administration du Rassemblement pour la laïcité. sur le devoir.com
Prière musulmane en plein jour dans un parc: «C’était une mosquée à ciel ouvert»
Pour écouter l’entrevue de Nadia El-Mabrouk avec Louis Lacroix à l’émission Puisqu’il faut se lever sur 985fm.ca (19 juin 2024)
Prière au conseil de ville: Luc Alarie obtient le prix de la laïcité Guy Rocher
Pour écouter l’émission Place publique à 16h30 sur radio-canada.ca (14 juin 2024)
Luc Alarie : lauréat 2024 du prix de la laïcité Guy-Rocher
Pour lire lecommuniqué du gouvernement, ou allez sur la page facebook du Mlq (14 juin 2024)
Interdire les signes religieux à l’école, une violation du droit des élèves? Pas selon la CEDH
La Cour Européenne des Droits de l’Homme avait été saisie par trois étudiantes belges musulmanes interdites de porter le voile dans leur établissement scolaire, qui estimaient que la mesure était contraire à la liberté de religion. Pour lire l’article du Monde avec l’AFP, sur lemonde.fr (16 mai 2024)
La FAE contre la laïcité
Pour écouter l’entrevue de Philippe Dujardin avec Sophie Stanké, à partir de 26:40 sur le balado de radio-centreville.com (3 mai 2024)
Loi sur la laïcité: des enseignants de l’Outaouais en rogne contre le syndicat
Une résistance s’organise chez des enseignants de l’Outaouais envers l’intention de leur syndicat – la Fédération autonome de l’enseignement (FAE) – de contester jusqu’en Cour suprême la validité de la Loi sur la laïcité de l’État au Québec. Très critiques, ils parlent de «déficience démocratique» et l’accusent «d’imposer sa volonté sans consentement». Pour lire l’article de Daniel LeBlanc, sur ledroit.com (3 mai 2024)
Les profs méritent mieux… de la part de leur syndicat
Qui eût cru que la grève que nous avons menée n’est finalement pas l’événement ayant suscité chez nous, enseignants de la FAE, le plus d’indignation? La FAE refait les manchettes, mais cette fois, à notre grand découragement, ce n’est pas pour de meilleures conditions d’enseignement ni de meilleures conditions d’apprentissage, et ce n’est surtout pas pour remplir un mandat que nous lui avons confié. Pour lire l’article d’un collectif de signataires, sur journaldemontreal.com (3 mai 2024)
Témoignage à l’adresse de la FAE
Pour lire la lettre d’Alexandre April, sur facebook.com (3 mai 2024)
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La Loi sur la laïcité contestée en Cour suprême par la FAE: pas avec l’argent des enseignants, dit Roberge
«Je ne suis pas certain moi, que l’ensemble des enseignants sont d’accord avec ça», affirme aujourd’hui le ministre responsable de la Laïcité. Le syndicat, fait-il valoir, «n’avait pas d’argent pour le fonds de grève, n’avait pas d’argent pour payer des sandwichs aux enseignants qui faisaient les manifestations». Pour lire tout l’article de Patrick Bellerose paru sur journaldemontreal.com (30 avril 2024)
Vidéo de l’allocution des conférenciers
Vidéo de la période de questions
L’invitation à suivre le débat La laïcité et la question nationale (11 avril 2024)
Les hypothèques islamiques sont une entrave majeure à la laïcité de l’État
Rappelons que ces clarifications font suite à l’annonce par laquelle le gouvernement fédéral indique, dans son budget 2024, explorer de nouvelles mesures pour « élargir l’accès aux prêts hypothécaires islamiques ». Pour lire la suite de l’article d’opinion paru sur ledevoir.com (26 avril 2024)
L’hypothèque islamique, un érouv financier
C’était écrit dans le ciel : la volonté du gouvernement Trudeau de normaliser les hypothèques islamiques fait grincer des dents au Québec. Le trio pro-laïcité que forment la CAQ, le Parti québécois et le Bloc à Ottawa est monté au créneau, disant s’opposer à l’insertion de la charia dans les règles financières canadiennes. Pour lire la suite de la chronique d’Hélène Buzzetti paru sur journaldequebec.com (26 avril 2024)
«La laïcité est la condition de la liberté»,
déclare Gabriel Attal
«Face à ceux qui font mine de ne pas comprendre ce qu’est la laïcité, qui voudraient la détourner, faire croire qu’elle est une forme d’arme antireligion, faire croire qu’elle est une forme de négation des religions, faire croire qu’elle est une forme de discrimination, nous répondons que la laïcité est la condition de la liberté, est la condition de l’égalité, est la condition de la fraternité», a déclaré M. Attal au Salon bleu, au grand plaisir du premier ministre François Legault, tout sourire. Pour lire tout l’article d’Hugo Pilon-Larose, Charles Lecavalier et Mélanie Marquis paru sur lapresse.ca (12 avril 2024)
Vidéos des interventions du colloque
Un colloque pour mieux présenter la laïcité
Le Mouvement laïque québécois veut développer une approche pédagogique. Pour lire la suite de l’article de Martin Lavoie paru sur journaldequebec.com (3 avril 2024)
L’échec systémique
On aurait pu croire que la guerre entre le Hamas et Israël aurait fait la preuve de l’utilité d’un poste comme celui de représentante spéciale du Canada chargée de la lutte contre l’islamophobie. Malheureusement, cette crise démontre plutôt le contraire : le système mis en place est un échec. Pour lire l’article de Maxime Pedneaud-Jobin paru sur lapresse.ca (14 mars 2024)
Loi 21: la clause dérogatoire n’est pas nécessaire
et une lacune doit être corrigée dans le jugement de la Cour d’appel
Pour lire l’article de Daniel Baril paru dans lautjournal.info (8 mars 2024)
Victoire pour le Mouvement laïque québécois
et pour la laïcité de l’État
Résumé du jugement de la Cour d’appel (15 pages)
Jugement intégral de la Cour d’appel (300 pages)
Échange de 30 minutes sur le jugement de la Cour d’appel entre Guillaume Rousseau et Louis-Philippe Lampron à l’émission d’Antoine Robitaille (1er mars 2024)
Éric Ouellet, Guillaume Rousseau, Luc Alarie, Marilou Alarie et Lucie Jobin
Discours haineux: les Canadiens souhaitent
annuler l’exemption religieuse
Laïcité, deuxième tour
Il est formidable, ce délai de cinq ans. Il y a des contraintes comme ça, qui nous semblent excessives au premier abord, mais qui nous rendent service à l’usage. Cinq ans, c’est le délai après lequel les législateurs, comme les nôtres à l’Assemblée nationale, doivent décider s’ils renouvellent ou non la disposition de dérogation. Celle qu’ils ont attachée à une loi pour dire aux juges : «Pas touche. Nous avons décidé qu’en ce cas précis, les élus, plutôt que les juges, vont rendre un arbitrage entre les droits individuels et les droits collectifs.» Pour lire la suite de la chronique de Jean-François Lisée, sur ledevoir.com (21 février 2024)Qu’est-ce qui motive le Conseil de la magistrature du Québec?
Le Conseil de la magistrature du Québec a comparu, cette semaine, devant la Cour supérieure du Québec pour contester la demande de Droits collectifs Québec (DCQ) et du Mouvement laïque québécois (MLQ) qui l’intime d’établir des règles traduisant les exigences de la Loi sur la laïcité de l’État (loi 21). Pour lire la suite de l’article d’opinion de Marie-Claude Girard, sur ledevoir.com (16 février 2024)Le tabou de la laïcité fiscale
L’émission Enquête de Radio-Canada mettait récemment en lumière le fait que si les organisations religieuses manquent de plus en plus de fidèles, elles ne manquent pas d’argent. À elles seules, les congrégations qui ont fait l’objet du reportage d’Enquête auraient pour près d’un milliard de dollars d’actifs. Pour lire la suite de l’article de Maxime Pedneaud-Jobin, sur lapresse.ca (15 février 2024)Prix Condorcet-Dessaulles 2023
Communiqué aux médiasVidéo de la cérémonie à télécharger.
La cérémonie
Récipiendaires du Prix Condorcet-Dessaulles 2023
Le Mouvement laïque québécois procèdera à la remise du prix Condorcet-Dessaulles 2023 le jeudi 8 février 2024 à 13 h au restaurant L’Atelier à Québec.Les récipiendaires du prix, les députés de l’Assemblée nationale du Québec, messieurs Joël Arseneau, Pascal Bérubé et Paul Saint-Pierre Plamondon seront présents pour recevoir les honneurs et prendre la parole. (7 février 2024).
Le Mouvement laïque québécois vous invite à la remise du Prix Condorcet-Dessaulles 2023 dans le cadre d’une cérémonie qui aura lieu dans la Capitale-Nationale, le 8 février prochain à 13 h. Cette année, le prix est décerné à trois personnalités publiques dont l’identité sera dévoilée lors de la remise du prix. Institué en 1993 pour souligner la contribution notoire d’une personne ou d’un groupe à la promotion et à la défense de la laïcité au Québec, le Prix Condorcet-Dessaulles est attribué à chaque année par le MLQ. La liste des lauréats précédents peut être consultée ici. (4 février 2024).
Capsules vidéo sur la Laïcité
du Rassemblement pour la laïcité
Qu’est-ce que la laïcité ? D’où vient cette idée ? À quel moment est-elle apparue dans l’Histoire ?
On peut aussi la voir sur le site Instagram du RPL. Deuxième capsule: plongez au cœur du concept de laïcité en explorant ses
principes fondamentaux et ce qu’ils sous-tendent sur le site Facebook du RPL.
On peut aussi la voir sur le site Instagram du RPL. Troisième capsule capsule vidéo, sur le site Facebook du RPL.
Pour mieux comprendre pourquoi la loi fait de la question des signes religieux une priorité.
On peut aussi la voir sur le site Instagram du RPL. (9 février 2024)
Colloque L’Éducation à la Laïcité, une nécessité démocratique
La philosophe française Catherine Kintzler sera avec nous à Québec dans le cadre d’un colloque qui se prépare et portant sur L’ÉDUCATION À LA LAÏCITÉ – UNE NÉCESSITÉ DÉMOCRATIQUE. Catherine (à gauche sur la photo) a rencontré une de nos organisatrices ( Marie-José DesRivières ) à Paris pour échanger sur le contenu du colloque. Ce colloque aura lieu les 5 et 6 avril 2024. À suivre! (7 février 2024).
Le gouvernement Legault s’apprête à renouveler la protection de la Loi sur la laïcité de l’État
En plus du Parti Québécois, la CAQ pourrait compter sur l’appui surprise des solidaires de Gabriel Nadeau-Dubois. Pour lire la suite de l’article de Geneviève Lajoie, sur journaldequebec.com (7 février 2024)Avis de convocation de l’Assemblée générale
du Mouvement laïque québécois
le dimanche 28 janvier 2024 à 13h30
au Centre humaniste du Québec, 1225, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Notez qu’il s’agit de l’assemblée générale de 2023 qui été retardée à janvier 2024 en raison de disponibilité des administrateurs.
Ordre du jour
1. Adoption de l’ordre du jour
2. Adoption du procès-verbal de l’assemblée générale de 2022 (remis sur place)
3. Rapport du président
4. États financiers (remis sur place)
5. Actions juridiques: contestation de la Loi sur la laïcité de l’État et plainte contre le Conseil de la magistrature du Québec
6. Présentation du programme du colloque Éducation à la laïcité, 5 et 6 avril
7. Élections au conseil d’administration
Tous les postes d’administrateurs sont en élection, y compris celui de la présidence. Les candidatures peuvent être annoncées à l’avance (à info@mlq.qc.ca) ou présentées sur place. Il est aussi possible d’adhérer au MLQ au moment de l’assemblée.
L’assemblée générale est également le moment du renouvellement de votre adhésion. (30 novembre 2023).
Trahis par une Église à la richesse insoupçonnée
Les victimes présumées de l’Église catholique au Québec demandent justice. Mais aura-t-elle les moyens de les indemniser si jamais les tribunaux leur donnent raison? Enquête a découvert que les organisations visées par des actions collectives détiennent près de 2 milliards en actifs. Pour lire la suite de l’article de Sylvie Fournier, Daniel Tremblay et Benoit Michaud, sur ici.radio-canada.ca. (25 janvier 2024)